Accepter le poste de président de la SAAC, en dehors de procurer une immense fierté, est un véritable sacerdoce. Les charges sont infinies et les gains instables. La défense de l'axiome du choix, la lutte contre l'intuitionnisme et le combat pour la reconnaissance des médecines douces sont autant de batailles que le président en exercice est souvent seul à assumer. En contrepartie toutefois, il est le seul à pouvoir utiliser le "Pouf de Zermelo". Le combat est juste et le repos mérité.mardi 26 juillet 2011
Le pouf de Zermelo
Accepter le poste de président de la SAAC, en dehors de procurer une immense fierté, est un véritable sacerdoce. Les charges sont infinies et les gains instables. La défense de l'axiome du choix, la lutte contre l'intuitionnisme et le combat pour la reconnaissance des médecines douces sont autant de batailles que le président en exercice est souvent seul à assumer. En contrepartie toutefois, il est le seul à pouvoir utiliser le "Pouf de Zermelo". Le combat est juste et le repos mérité.
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